L’automatisation des véhicules, un sujet abordé jeudi 23 mars 2017 lors d’une conférence au salon Laval Virtual. Conclusion des débats: la voiture autonome et sûre à 100% ne semble pas prête, surtout pour circuler en ville. Les navettes, bus autonomes devraient se développer d’abord.
La réalité virtuelle représente en quelque sorte les yeux d’un véhicule autonome. La gestion de véhicules automatisés (électriques notamment en ville) permettrait à la fois de mieux gérer les flux de trafic et de lutter contre les pollutions et le réchauffement climatique.« Une voiture autonome qui sait reconnaitre une ville et gérer sa conduite dans le flux de circulation, on ne sait pas faire".
Constat dressé par William Ledoux , ingénieur chez SpirOps. Cette société spécialisée en intelligence artificielle travaille notamment pour le groupe PSA.
De son côté, Matthieu Levivier de Citymagine a mis en avant les progrès en cours, avec l’exemple de cette Tesla qui a anticipé un accident sur une autoroute hollandaise.
A voir ici :
Concilier l’intérêt général, le « service public », et le dynamisme voir l'appétit de Startups à l'image d'Uber c'est tout l'enjeu du futur.
Les navettes, autobus automatisés et circulant en site dédiés devraient se généraliser avant les voitures.
Le frein psychologique des conducteurs n'est pas à négliger
38 % des européens seraient prêts à faire confiance à une voiture autonome, contre 91% des chinois
Dans l'ouest le réseau id4car travaille sur la thématique de la mobilité durable. Rennes accueillera d'ailleurs un nouveau salon international inOut en mars 2018