Rétro Zap : le massacre d’Oradour-sur-Glane, expérience d'hibernation et les dangers du mini-short

Publié le Mis à jour le
Écrit par Marie Chatillon

A travers les archives de l'INA, retour ce mercredi 10 juin sur le massacre d’Oradour-sur-Glane en 1944, une expérience sur l'hibernation en 1959 et les dangers du mini-short en 1971.

Au sommaire de notre Rétro Zap du 10 juin 2015

1944, massacre d’Oradour-sur-Glane - 1959, « Hibernatus » - 1971, les dangers du mini short.



Images tirées des archives télévisuelles de l'INA (Institut National de l'Audiovisuel)

 

10 juin 1944 : massacre d’Oradour-sur-Glane

Dans le cadre d'une opération de représailles contre la résistance, le 10 juin 1944, des troupes de la division de Waffen SS Das Reich arrive à Oradour-sur-Glane. Les soldats allemands encerclent le bourg, rassemblent la population avant de séparer les hommes, des femmes et des enfants. Les hommes sont dirigés dans une grange puis exécutés. Les femmes et les enfants sont rassemblés dans l'église avant d'être mitraillés et brûlés vif. 642 personnes sont massacrées avant que le village ne soit pillé et incendié. Il s'agit là du plus grand massacre de civils commis sur le territoire français par l'armée allemande.



10 juin 1959 : « Hibernatus »

Reportage épique sur les travaux du professeur, Radoslav Andjus, un physiologiste yougoslave qui étudie le phénomène de l'hibernation. Le document montre un rat plongé dans un état de mort apparente après avoir été "refroidi" à une température au-dessous de laquelle la respiration s'arrête et le cœur cesse de battre. Au bout  d'un laps de temps d'une à deux heures, l'animal est réanimé en lui réchauffant la région cardiaque et en le soumettant à la respiration artificielle.



10 juin 1971 : les dangers du mini short

Reportage cocasse consacré à la mode du mini short et dans lequel intervient un avocat très sarcastique.  Il explique que le port de ce type de short par une femme peut poser quelques problèmes sur le plan juridique. Elle risque, d'après lui, d'être à l'origine d'accidents de la circulation pour lesquels elle pourrait être reconnue responsable.





 

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