Jacques Curtil, membre du comité d'organisation du festival, nous fait part chaque jour de son humeur, ses coups de gueule et ses coups de coeur.
L'humeur est cosmopolite !
Voilà cinq jours que le festival est commencé ! Clermont-Ferrand et le Festival forment une petite planète et là, la plupart des invités venus des quatre coins du monde sont arrivés. D'Afrique, de Corée, d'Iran, d'Inde, etc.
C’est cela qui est super pour nous, organisateurs, d'avoir d'abord vu des films qui venaient du monde entier et puis, ensuite, d'être baignés dedans. On arpente les couloirs, on se retrouve confrontés à des visages, des sons, des langues, tous très divers qu’on n’a pas l’habitude de côtoyer à Clermont-Ferrand.
C’est une sensation très plaisante. Elle correspond aux regards que nous avons (sinon nous n’organiserions pas ce festival international) de diversité, de mélanges de cultures. Nous souhaitons que chacun apprenne à se connaître avec toutes les différences que l'on peut avoir.
On a l’impression d’être à l’aboutissement de quelque chose avec cette mixité, cette petite planète que devient pendant une semaine le Festival de Clermont.
Jacques Curtil