A 23 ans, il découvre l'ambiance du Tour de France, ses étapes stressantes, la nervosité particulière du peloton. L'Auvergnat Romain Bardet en profite pour livrer ses impressions dans une chronique au quotidien sportif L'Equipe à qui il explique que le Tour de France, "c'est un rythme à prendre".
Après deux étapes dans ce Tour de France du centenaire, le Brivadois Romain Bardet pointe à la 12ème place. Un classement qui ne veut pas dire grand-chose à ce stade de l'épreuve, si ce n'est que l'Auvergnat est toujours en bonne place dans le peloton (30ème de l'étape 1, 26ème de l'étape 2).
Second du classement du meilleur jeune derrière Michalv Kwiatkowski (Omega-Pharma), le jeune coureur d'AG2R-La Mondiale découvre le Tour de France cette année. A 23 ans, le garçon a la tête bien pleine et bien posée sur les épaules, et ce n'est sans doute pas par hasard si le quotidien L'Equipe lui a proposé d'écrire une chronique régulière dans ses colonnes pour livrer ses impressions.
Le Tour est une tension permanente. Le danger vient des autres coureurs et du public, qui peut déborder à chaque instant. Par rapport aux autres courses, tout est démultiplié.
Romain Bardet écrit que "pour l'instant ça se passe bien" mais qu'il n'est pas passé loin de la chute, samedi. Il explique qu'au sein du peloton, certains coureurs préfèrent tomber que freiner et perdre toute chance de gagner. Un comportement qui ajoute à la nervosité ambiante d'un grand tour.
Cette course est tellement importante que les mecs préfèrent tomber que de mettre le coup de frein qui leur enlèverait une chance de gagner.
Physiquement, Romain Bardet dit se sentir bien et "récupérer le plus possible à rester le plus possible assis ou allongé et à couper du vélo avant et après l'étape".
L'intégralité de sa chronique est à lire ici.
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