Trois jours après le séisme dans leur pays, les népalais de Grenoble sont bouleversés. Ils sont une petite douzaine d'expatriés, très soudés, à se réunir depuis ce week-end. Partagés entre tristesse et envie d'agir.
Toujours les yeux rivés sur les écrans. Depuis ce week-end, les népalais de grenoble sont à l'affût de la moindre nouvelle de leurs familles.Après le choc du séisme, c'est aujourd'hui la peur de la pénurie qui apparaît.
Les nouvelles de Katmandou commencent à affluer, mais celles du reste du pays sont plus rares. La ville de Gorkha, d'où Ramesh est originaire, est située près de l'épicentre. Elle comptait 1200 bâtiments vendredi. Aujourd'hui seulement 4 d'entre eux seraient encore debout.
Reportage Cédric Picaud et Didier Albrand
Intervenants : Manish Shah
originaire de Katmandou, Ramesh Bista
originaire de Gorkha, Sri Gurung
originaire de Katmandou
Même loin de leur pays meurtri, ces expatriés veulent agir. Ils ont décidé de monter une association pour fournir une aide logistique aux médecins et infirmiers volontaires. Vous pouvez écrire à restoktm@gmail.com