Lors du débat du second tour entre Marine Le Pen et Emmanuel Macron, mercredi 3 mai, il a été question d’emploi, de terrorisme, de fiscalité et… du Cantal. Pour dénoncer une éventuelle sortie de l’euro, Emmanuel Macron a pris l’exemple de « l’éleveur du Cantal". 

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Mercredi 3 mai, le « grand débat » tant attendu entre les deux finalistes à la présidentielle s’est déroulé dans un climat pour le moins tendu. Parmi les sujets abordés : la sortie de l’euro. Opposé à ce qu’il qualifie de « grand n’importe quoi du projet de Marine Le Pen », à savoir la sortie de l’euro, Emmanuel Macron a pris exemple sur l’éleveur du Cantal  et sa nécessité de commercer avec l’Italie.

"L'éleveur du Cantal achète ses produits à l'étranger, donc en euros, mais il paiera ses salariés en France ? S'il est éleveur, il a des broutards qu'il envoie engraisser en Italie. Les Italiens, il les paiera en euros mais ses salariés en francs?" "Hou là là, ça va être compliqué", a-t-il lancé.

Afin d’illustrer son propos sur la nécessité de rester dans l’euro, Emmanuel Macron a pris l’exemple de « l’éleveur du Cantal », lors du débat face à Marine Le Pen, mercredi 3 mai..



Un échange qui a suscité nombre de réactions sur les réseaux sociaux. A commencer par celle de la Cantalienne d’origine mais aussi patronne de la FNSEA, Christiane Lambert.

 


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