La commune de Chaudes-Aigues, dans le Cantal, fait partie des quelques villes qui se sont inscrites sur le site internet « Paris, je te quitte ». L’objectif est de faire la promotion de son cadre de vie, elle recherche de nouveaux habitants et surtout de nouveaux soignants.

La petite cité de Chaudes-Aigues, dans le Cantal, veut aussi surfer sur la vague de retour à la nature post-covid 19. Pour ça, elle s’est inscrite sur le site internet « Paris je te quitte ». Sur le site on retrouve toutes les informations à connaître sur la ville : 2 233 heures d'ensoleillement par an, 1 022 millimètres de précipitations par an, pour une maison 150 m² le prix moyen est de 175 000 euros, etc.   
L’objectif est de faire la promotion de son cadre de vie au cœur de la nature, sans embouteillages, sans stress et sans chômage et attirer de nouveaux habitants. « C’est très agréable, il fait bon vivre et c’est vivant contrairement à ce qu’on pourrait croire, il y a des activités », explique un habitant. Sur le site internet, la ville met en avant plusieurs aspects pour attirer les nouveaux venus : le témoignage d’une ancienne citadine qui est venue s’installer à Chaudes-Aigues, des balades natures autour des gorges de la Truyère, le viaduc de Garabit, l'originalité de ses sources thermales à 82°, les plus chaudes d'Europe.

"Nous, on veut exister et c’est pour ça que l’on veut qu’il y ait des gens qui viennent"

« On veut élargir le panel des commerces, des artisans, des soignants, explique Jean Passemard, conseiller municipal sur la commune. L’objectif aussi est de maintenir les personnes déjà installés. Nous proposons des offres d’emploi variées dans les commerces, mais aussi à l’hôpital. Nous, on veut exister et c’est pour ça que l’on veut qu’il y ait des gens qui viennent ». Chaudes-Aigues est la seule commune en Auvergne à tenter de séduire ainsi des franciliens en mal de grands espaces. « On a une autoroute qui est à 30 kilomètres d’ici et qui nous amène soit à Clermont-Ferrand soit à Montpellier. On bénéficie d’une multitude de paysages. On a une très bonne qualité de vie ».

"Chaudes-Aigues, l’essayer, c’est l’adopter"

Même si pour le moment, il n’y a pas encore de retours sur l’opération. « Les gens s’ils viennent, ils ne le regretteront pas. On est en concurrence avec d’autres villes qui essayent de tirer leur épingle du jeu, mais il n’y a qu’une Chaudes-Aigues. Chaudes-Aigues, l’essayer, c’est l’adopter », insiste Nicole Batifol, adjointe à la mairie. La ville se donne quelques temps encore pour convaincre de nouveaux actifs de venir vivre à Chaudes-Aigues. La commune espère attirer surtout de médecins, un kinésithérapeute et un dentiste.

Même si pour le moment, il n’y a pas encore de retours sur l’opération. « Les gens s’ils viennent, ils ne le regretteront pas. On est en concurrence avec d’autres villes qui essayent de tirer leur épingle du jeu, mais il n’y a qu’une Chaudes-Aigues. Chaudes-Aigues, l’essayer, c’est l’adopter », insiste Nicole Batifol, adjointe à la mairie. 

La ville se donne quelques temps encore pour convaincre de nouveaux actifs de venir vivre à Chaudes-Aigues. La commune espère attirer surtout de médecins, un kinésithérapeute et un dentiste.

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