Insultes, menaces de mort, le compte Facebook du maire de Saint-Gervais, Jean-Marc Peillex, piraté

Très actif sur les réseaux sociaux, le maire de Saint-Gervais a été victime à son tour de hackers. Son compte Facebook a été piraté. Des centaines de messages d'insultes et même des menaces de mort ont déferlé après la visite d'Emmanuel Macron au pied du mont Blanc.

L'essentiel du jour : notre sélection exclusive
Chaque jour, notre rédaction vous réserve le meilleur de l'info régionale. Une sélection rien que pour vous, pour rester en lien avec vos régions.
France Télévisions utilise votre adresse e-mail afin de vous envoyer la newsletter "L'essentiel du jour : notre sélection exclusive". Vous pouvez vous désinscrire à tout moment via le lien en bas de cette newsletter. Notre politique de confidentialité

Des centaines de messages d'insultes et même des menaces de mort. La page Facebook de Jean-Marc Peillex, le maire de Saint-Gervais (Haute-Savoie) a été la cible d'une véritable attaque en règle ce week-end. Son compte privé a été piraté quelques heures après la visite d'Emmanuel Macron.

On sait Jean-Marc Peillex très actif sur les réseaux sociaux. Il lance ainsi régulièrement ses coups de gueule via twitter ou Facebook. Une cible idéale pour les hackers ? Le maire de Saint-Gervais fait en tout cas l'objet depuis ce week-end d'un véritable déferlement de messages haineux. Plus de "800 messages d'insultes et de menaces" selon Jean-Marc Peillex, générés par "450 faux profils".

Ce sont les nombreuses photos et publications en lien avec la visite d'Emmanuel Macron, jeudi dernier, qui ont été prises d'assaut dans la nuit de vendredi à samedi. Quelques messages tout d'abord... "J'ai commencé à répondre à deux ou trois" raconte Jean-Marc Peillex. Et puis tout s'est emballé. En quelques heures, les messages sont devenus de plus en plus nombreux, provenant de comptes "sans photo humaine, avec des photos d'animaux ou même de nounours... J'ai rapidement compris qu'il s'agissait de trolls".
 
Pour le maire de Saint-Gervais, aucun doute n'est permis, il s'agit bien d'une opération de "désinformation organisée". Avec ses équipes, l'édile aurait comptabilisé environ 450 "faux profils". Tous auraient été bloqué "un par un".

Jean-Marc Peillex annonce qu'il devrait porter plainte ce lundi après-midi.

 

Tous les jours, recevez l’actualité de votre région par newsletter.
Tous les jours, recevez l’actualité de votre région par newsletter.
Veuillez choisir une région
France Télévisions utilise votre adresse e-mail pour vous envoyer la newsletter de votre région. Vous pouvez vous désabonner à tout moment via le lien en bas de ces newsletters. Notre politique de confidentialité
Je veux en savoir plus sur
le sujet
Veuillez choisir une région
en region
Veuillez choisir une région
sélectionner une région ou un sujet pour confirmer
Toute l'information