Le percement d'une deuxième galerie au tunnel transfrontalier du Mont-Blanc refait surface. Du côté italien, on serait plutôt favorable au projet, enterré depuis le drame de mars 1999 qui avait fait 39 victimes.
Avec un doublement des capacités du tunnel, la rentrée d'argent générée par une augmentation du trafic des poids-lourds permettrait ainsi aux Italiens de financer une partie des travaux de l'autoroute menant au tunnel. Côté Français, l'idée fait grincer des dents... notamment à Chamonix.