L'ADN permet de confondre l'incendiaire d'un radar dans le nord du département de l'Isère

Un homme a été placé en garde à vue ce lundi 21 mai 2018. Il sera poursuivi pour l'incendie d'un radar à Reventin-Vaugris en Isère en janvier dernier. C'est une trace d'ADN qui a permis de le confondre.

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Un homme a été placé en garde à vue ce lundi 21 mai 2018. Il sera poursuivi pour la tentative d'incendie d'un radar en janvier dernier à Reventin-Vaugris en Isère. Sur place, les gendarmes avaient retrouvé une trace d'ADN qui a permis de le confondre.

Plusieurs mois d'enquête ont été nécessaires pour confondre la personne arrêtée et placée en garde à vue hier. L'homme est âgé de 27 ans. Selon le parquet de Vienne, il aurait reconnu être à l'origine de la tentative d'incendie.

Plusieurs radars avaient été dégradés et partiellement incendiés dans la nuit du 21 au 22 janvier, dans le nord du département de l'Isère, dans la Drôme et en Ardèche, à Reventin-Vaugris, Sonnay, Saint-Rambert-d'Albon Laveyron et Peaugres.


A proximité du radar de Reventin-Vaugris, situé en bordure de la RN7, les gendarmes avaient retrouvé une bouteille de liquide inflammable sur laquelle une trace ADN avait visiblement pu être récupérée. Un automobiliste, qui circulait sans plaque a proximité, avait également été interpellé.

Les analyses ont apparemment permis de confondre l'automobiliste arrêté comme l'auteur de l'incendie.

Placé en garde à vue ce lundi, ce dernier aurait avoué. Il comparaîtra le 4 octobre prochain devant le tribunal correctionnel de Vienne.

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