Alors que l'été joue les prolongations sur l'hexagone, et que tout le monde profite de cette douceur comme un bonus avant l'hiver, l'agglomération grenobloise se distingue à nouveau avec un record pour 2018 : 122 jours au dessus de 25 degrés, on explose la moyenne sur les 30 dernières années.
Alors que les spécialistes météo annoncent que la chaleur va encore durer quelque temps avant le débarquement des frimas et froidures, l'agglomération grenobloise fait les comptes et affiche ce nouveau record. Cependant, ces chiffres réjouissants ont un coût, notamment en terme de pollution.
Quand le thermomètre grimpe, l'ozone aussi avec une particularité : le centre ville diluerait plus facilement les polluants. Ceux-ci portés par les flux aérologiques iraient coloniser la périphérie et les massifs qui surplombent la cuvette grenobloise. Des polluants qui stagnent tant que la météo reste au beau fixe.
A méditer quand l'envie vous prend de sauter dans la voiture pour aller respirer en montagne lors d'une balade.