Ce mercredi 30 août, au parc Bachelard de Grenoble, les salariés de General Electric se sont rassemblés avec les élus locaux pour faire le point sur les 345 emplois menacés de suppression.
Au parc Bachelard de Grenoble, ce mercredi 30 août 2017, ils étaient environ 300 salariés à être réunis pour faire le point sur la situation de General Electric.
Les syndicats ont fait part à nouveau de leur inquiétude et de leur colère face au plan de sauvegarde de l'emploi (PSE). Les élus locaux étaient là pour les soutenir avec notamment la présence d'Eric Piolle, le maire de Grenoble, de Christophe Ferrari, le président de la métropole et d'Olivier Véran, député de l'Isère.
Avec les 340 salariéEs de @generalelectric menacéEs de licenciement. Une économie innovante développe les métiers, elle ne les casse pas ! pic.twitter.com/FKe4khsk5j
— Éric Piolle (@EricPiolle) August 30, 2017
Aux côtes des salariés de @generalelectric de #Grenoble menacés de licenciement, nous sommes avec @EmilieCChalas totalement mobilisés. pic.twitter.com/iGlMeGtpsS
— Olivier Véran (@olivierveran) August 30, 2017
Le syndicat a rappelé que, selon lui, la décision de la direction n'était pas justifiée, et qu'elle noircissait volontairement le tableau. Les discussions auront lieu jusqu'au mois de novembre.
Si le plan est mené jusqu'au bout, les premières lettres de licenciement devraient arriver le 1er mars 2018.