L'Isérois Jean-Pierre B. est passé aux aveux. Selon des informations de France 2, l'Isérois interpellé avec 5 autres personnes pour un projet d'attaque contre Emmanuel Macron, voulait poignarder le Président lors des commémorations du 11 novembre.
L'enquête avance après l'interpellation de 6 personnes dans le cadre d'un projet "d'action violente" contre Emmanuel Macron en début de semaine. Selon nos confrères de France 2, le principal suspect, un Isérois de 55 ans, projetait de poignarder le Président lors des commémorations de la fin de la Première Guerre Mondiale.Selon France 2, les suspects interpellés, proches de la mouvance de l'ultradroite, "allaient passer à l'action" lorsqu'ils ont été arrêtés. Ils seraient passés aux aveux ce vendredi 9 novembre, dans les locaux de la DGSI en région parisienne, et auraient raconté comment ils comptaient s'en prendre à Emmanuel Macron lors de son "itinérance mémorielle" dans l'Est de la France.
Jean-Pierre B., originaire de Saint-Georges-de-Commiers, en Isère, aurait ainsi prévu de s'attaquer directement, et avec l'aide d'un couteau, au Président, lors de son bain de foule à Charleville-Mézières, dans les Ardennes.
Comme le raconte Franceinfo, celui qui est considéré comme le "cerveau" du groupe avait été interpellé en possession d'un couteau en céramique. Il comptait passer les portiques de sécurité "grâce au matériau de cette arme, qui... n'est pas censé déclencher l'alarme".
Hier jeudi, aujourd'hui vendredi, 2 des membres du groupe, dont une habitante de Prunières, en Isère, ont été remis en liberté. 4 personnes sont toujours en garde à vue ce vendredi soir.
Lire l'article complet de Franceinfo.