Ils étaitent poursuivis notamment pour avoir investi la permanence du député Jean-Louis Gagnaire lors des manisfestations contre la loi "Travail". Le tribunal de Saint-Etienne les a finalement relaxés.
C'est finalement la relaxe qui a été prononcée à l'encontre des jeunes poursuivis après les débordements du 12 mai sur la loi travail.
Une femme et 3 hommes comparaissent mercredi devant le tribunal correctionnel de Saint-Etienne. Lors d'une manifestation contre la loi Travail, ils étaient entrés par effraction dans la permanence du député socialiste Jean-Louis Gaganire avant d'échanger des coups avec les policiers intervenus.
Le procureur avait requis de 4 à 12 mois avec sursis et des amendes de 500 à 600 euros pour 3 d'entre eux. Et 18 mois dont 3 fermes pour le quatrième pour violence sur 5 policiers.
Le député Jean-Louis Gaganire et le syndicat de Police SGP-FO avaient porté plainte contre les 4 militants, parmi lesquels figure Martin Pontier, responsable fédéral des Jeunesses Communistes de la Loire.
Pour les prévenus, il s'agissait d'un procès politique. une manifestation de soutien était organisée entre la Bourse de Travail et le Palais de Justice.