Ce sont les "nouveaux" visages du Sénat dans la Loire. Il y avait quatre sièges à pourvoir. Deux sénateurs sortants sont réélus: Cécile Cukierman (PC) et Bernard Fournier (Divers droite). Sont également élus Bernard Bonne (LR), président du conseil départemental et Jean Claude Tissot (PS)
La majorité de droite au Sénat est sortie renforcée dimanche des sénatoriales, marquées par un très fort renouvellement des élus et un premier
revers pour La République en marche d'Emmanuel Macron, très loin de ses objectifs initiaux. A l'issue de ce scrutin, 102 nouveaux élus sur les 171 renouvelables devraient faire leur entrée début octobre au Palais du Luxembourg.
Dans la Loire, les 1800 grands électeurs, prinicpalement des élus locaux, ont choisi de reconduire dans leurs fonctions la sénatrice communiste Cécile Cukierman et le sénateur Bernard Fournier (Divers Droite). Ils ont par ailleurs accordé leur confiance à Bernard Bonne, président du conseil départemental de la Loire et au socialiste Jean-Claude Tissot.
Principaux bénéficiaires du scrutin, Les Républicains comptent désormais 159 sénateurs,soit 17 de plus que dans le Sénat sortant, selon des sources
Dans la Loire, les 1800 grands électeurs, prinicpalement des élus locaux, ont choisi de reconduire dans leurs fonctions la sénatrice communiste Cécile Cukierman et le sénateur Bernard Fournier (Divers Droite). Ils ont par ailleurs accordé leur confiance à Bernard Bonne, président du conseil départemental de la Loire et au socialiste Jean-Claude Tissot.
Principaux bénéficiaires du scrutin, Les Républicains comptent désormais 159 sénateurs,soit 17 de plus que dans le Sénat sortant, selon des sources
concordantes. L'UDI en compte 50 (+8) et quatre non inscrits portent la majorité sénatoriale à 213 élus de la droite et du centre.
Le Parti socialiste a plutôt bien résisté après ses cuisantes défaites à la présidentielle et aux législatives de juin et le PCF, qui semblait menacé, est en mesure de conserver son groupe à la Haute assemblée.
Forte déception en revanche du côté de La République en marche, qui n'a pas réussi à s'imposer au Sénat. La République en Marche d'Emmanuel Macron semble payer les premières difficultés du quinquennat et l'inquiétude des élus confrontés aux décisions du gouvernement impactant les
Le Parti socialiste a plutôt bien résisté après ses cuisantes défaites à la présidentielle et aux législatives de juin et le PCF, qui semblait menacé, est en mesure de conserver son groupe à la Haute assemblée.
Forte déception en revanche du côté de La République en marche, qui n'a pas réussi à s'imposer au Sénat. La République en Marche d'Emmanuel Macron semble payer les premières difficultés du quinquennat et l'inquiétude des élus confrontés aux décisions du gouvernement impactant les
finances des collectivités territoriales.
Dans un communiqué, Gaël Perdriau, maire de St Etienne et président de St Etienne Métropôle , salue l'élection de Bernard Bonne "pour son parcours exemplaire au service de notre département, en tant que laire de Bourg Argental,vice-président chargé des affaires sociales puis président du conseil départemental de la Loire depuis 2008." S'il salue aussi la réelection de Cecile Cukierman et de Bernard Fournier, il regrette en revanche que "Jean-Francois Barnier, maire du Chambon Feugerolles et vice-président de St Etienne métropole n'ai pas été élu".
Les réactions de Cecile Cukierman (PC) et Jean-Claude Tissot (PS) :
Les réactions de Bernard Fournier (Divers droite) et Bernard Bonne (Les Républicains) :
Dans un communiqué, Gaël Perdriau, maire de St Etienne et président de St Etienne Métropôle , salue l'élection de Bernard Bonne "pour son parcours exemplaire au service de notre département, en tant que laire de Bourg Argental,vice-président chargé des affaires sociales puis président du conseil départemental de la Loire depuis 2008." S'il salue aussi la réelection de Cecile Cukierman et de Bernard Fournier, il regrette en revanche que "Jean-Francois Barnier, maire du Chambon Feugerolles et vice-président de St Etienne métropole n'ai pas été élu".
Les réactions de Cecile Cukierman (PC) et Jean-Claude Tissot (PS) :
Les réactions de Bernard Fournier (Divers droite) et Bernard Bonne (Les Républicains) :