Un violeur présumé arrêté à Saint-Etienne : plusieurs adolescentes piégées sur internet

Un homme de 21 ans a été placé en détention à Saint-Etienne le 8 février 2022. Il est soupçonné d'avoir obligé des jeunes femmes à des relations sexuelles en menaçant de diffuser des photos.

Société
De la vie quotidienne aux grands enjeux, découvrez les sujets qui font la société locale, comme la justice, l’éducation, la santé et la famille.
France Télévisions utilise votre adresse e-mail afin de vous envoyer la newsletter "Société". Vous pouvez vous désinscrire à tout moment via le lien en bas de cette newsletter. Notre politique de confidentialité

Un homme de 21 ans a été mis en examen mardi pour cinq viols et écroué, a confirmé le parquet de Saint-Etienne.

Il est soupçonné d'avoir contraint des jeunes femmes à des relations sexuelles en menaçant de divulguer des photos compromettantes.

L'enquête a débuté fin 2021 à la suite d'une plainte d'une adolescente de 15 ans qui a expliqué avoir été contrainte à se rendre à un rendez-vous dans un hôtel de Lyon et à avoir des relations sexuelles avec un homme rencontré sur internet qui menaçait de diffuser sur des réseaux sociaux les photos d'elle nue qu'elle lui avait envoyées.


"D'autres cas devraient prochainement lui être imputés" dans le cadre de l'information judiciaire en cours, a ajouté le procureur adjoint de Saint-Etienne André Merle.

Le suspect décrit des "rapports consentis"


De source policière, une dizaine de cas pourraient déjà lui être imputés et les investigations se poursuivent.

Certaines des victimes identifiées au cours de l'enquête n'ont pas à ce stade voulu déposer plainte. Le mis en cause nie les viols et évoque des rapports sexuels consentis.

Avec AFP

Tous les jours, recevez l’actualité de votre région par newsletter.
Tous les jours, recevez l’actualité de votre région par newsletter.
choisir une région
France Télévisions utilise votre adresse e-mail pour vous envoyer la newsletter de votre région. Vous pouvez vous désabonner à tout moment via le lien en bas de ces newsletters. Notre politique de confidentialité