Le gour de Tazenat n'a pas retrouvé sa couleur bleue. La baignade reste interdite. Des chercheuses de l'université Blaise Pascal ont effectué ce 26 juillet des analyses supplémentaires pour en savoir plus sur les cyanobactéries qui envahissent le plan d'eau.

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Le Gour de Tazenat est devenu terrain d'étude. L'étendue d'eau a viré au rouge à cause de la présence trop importante de cyanobactéries et les chercheuses de l'université Blaise Pascal ont prélevé des échantillons au fond du lac grâce à une sonde…. à 66 mètres de profondeur.

La cyanobactérie détectée dans le Gour est souvent présente dans le lac du Bourget à Aix les Bains. Mais c'est la première fois que cet épisode survient à  Charbonnières-les-Vieilles.
Le sénateur-maire, Jacques-Bernard Magner, a reçu cette après-midi les dernières analyses réalisées par l'Agence régionale de Santé (ARS). Des traces de toxines produites par les cyanobactéries ont été détectées en très faible quantité.
De nouvelles analyses doivent être effectuées jeudi 28 juillet. En attendant, la baignade reste interdite au Gour de Tazenat.

Les analyses réalisées par l'ARS la semaine dernière ont révélé des traces de toxines en très faibles quantité. La baignade reste interdite. Des chercheuses de l'université Blaise Pascal ont effectué ce matin des analyses supplémentaires. Le but : en savoir plus sur ces cyanobactéries. Intervenants : Marion Sabert, chercheuse à l'université Blaise Pascal; Jacques-Bernard Magnet Sénateur-maire de Charbonnières-les-Vieilles


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