C'est une histoire qui remonte aux Jeux Olympiques de 1992. A cette époque, les communes avoisinant les sites des épreuves ont subi d'importants aménagements. Des "zones humides" ont été créées puis laissées en l'état, abandonnées à leur "inesthétisme", comme à Sainte-Hélène-sur-Isère.
Reportage. C'est ce qu'on appelle des "zones humides". Elles ont créées en 92 pour les Jeux Olympiques. A Sainte-Hélène-sur-Isère, à 8 km d'Albertville, on a creusé, il y a 20 ans, des lacs "tout en longueur et sans guère d'harmonie" estime la commune qui a décidé de reprendre en mains le visage de ses paysages.Les gravières qui avaient été creusées à l'époque, pour faire un parking de co-voiturage pour les Jeux par exemple, ont déjà été réaménagées pour la pêche ou en site de baignade.
Aujourd'hui, il s'agit d'agrandir le lac, de refaçonner sa physionomie et de rendre les berges aux promeneurs et aux oiseaux.