Entre Villeurbanne et Lyon, environ un millier de marcheurs répondent à l'appel national contre l'extrême-droite

Plusieurs centaines de personnes ont défilé contre l'extrême-droite ce dimanche 13 juin à l'appel de plusieurs organisations comme le PCF, EELV, l'UNEF, Solidaires, Ensemble, Génération.s, les Gilets jaunes, la France Insoumise, la FSU, la Ligue des Droits de l'homme. 

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Ils étaient 750 selon les forces de l'ordre...plutôt 2000 selon les organisateurs. Réunis 24 heures après l'appel national à manifester contre l'extrême-droite, en raison de l'organisation de la Pride, qui a rassemblé 15 000 manifestants à Lyon la veille. 

Le défilé est parti de Charpennes peu après 15h30. Une mobilisation décevante pour bon nombre de participants. Une manifestation ralentie peu après son départ par un groupe de jeunes militants "anti fascistes " qui a pris la tête du cortège devant les organisateurs.

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Raphaël Arnault Porte-parole Jeune Garde Lyon (Reportage de Fatima Bouyablane et Béatrice Tardy) ©France Télévisions

Puis les manifestants ont remonté le cours Emile Zola dans une bonne ambiance, afin de dénoncer la "banalisation des discours de l'extrême-droite"

La veille, 9000 personnes avaient manifesté à Paris. Une journée au cours de laquelle le leader des Insoumis, Jean-Luc Mélenchon, a subi une agression, recevant de la farine sur le visage alors qu'il donnait des interviews. 

Selon l'AFP, Le youtubeur, qui a revendiqué l'enfarinage de Jean-Luc Mélenchon à la manifestation contre l'extrême droite samedi à Paris, et un complice présumé, doivent être jugés le 7 juillet pour "violences sur personne chargée d'une mission de service public", a appris l'AFP dimanche auprès du parquet de Paris.  Placé en garde à vue samedi quelques heures après les faits, cet animateur d'une chaîne YouTube politique de droite radicale s'est vu remettre une convocation devant le tribunal correctionnel de Paris afin d'y être jugé pour "violences sur personne chargée d'une mission de service public".

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