Les filles de l'OL, déja championnes de France, disputent jeudi à Kiev la finale de la Ligue des champions contre les allemandes de Wolfsburg. Une équipe qu'elles connaissent particulièrement bien pour l'avoir battue en 2016 après avoir perdu contre elle en finale en 2013.
La confrontation s'annonce particulièrement ardue. De l'avis général, les deux équipes ont chacune une chance égale de l'emporter à Kiev. Les filles de l'OL rencontrent jeudi Wolfsbug en finale de la Ligue des champions sur terrain neutre. Elles ont effectué un dernier entraînement, mardi avant de prendre l'avion pour l'Ukraine.
Reynald Pedros, l'entraîneur de l'équipe féminine, veut se convaincre que le déplacement ne peut se solder que par une victoire. Méthode Coué . Même s'il doit bien admettre à son tour que "c'est du 50/50"sur un seul et même match . Car l'équipe allemande de Wolfsburg est une adversaire redoutée des lyonnaises, qu'elles trouvent toujours sur leur route à un moment ou un autre de la compétition et plutôt en finale. En 2016, c'est déjà contre Wolfsburg qu'elles remportent leur troisième Ligue des champions aux tirs au but (4-3). Une revanche. En 2013, c'est toujours Wolfsburg qui les prive d'un nouveau sacre européen. Autant dire que les deux équipes se jaugent et se défient en permanence dans la compétition.
Pour Reynald Pedros, cette équipe allemande "présente le même schéma tactique : Des qualités individuelles, une équipe d'expérience, compétitive, plutôt efficace dans ses regroupements. C'est à nous, dit-il, de jouer notre propre rôle, d'être conquérant et bien organisé."