A Vesoul, comme à Lyon , Bordeaux ou Marseille, les policiers ont participé à une journée nationale d'action ce mardi à l'appel de l'Unité police
SGP Force ouvrière.
Entre réduction du coût de leurs indemnités et dégradation des conditions de travail, les gardiens de la paix ne cachent plus leur ras le bol. Aujourd'hui, ils étaient invité à le manifester à l'appel de Force Ouvrière. Tandis qu'à Paris, ils étaeint un millier devant le ministère de l'Economie, à Vesoul, ils se sont retrouvés, en civil, devant le commissariat afin d'exposer les inquiétudes quant à l'avenir. La disparition d'une partie des primes de risques pour les élèves policiers, le report de plus en fréquent des jours de repos ou le gel des salaires sont au coeur de leurs préoccupations.