Pour éviter les pollutions maritimes sauvages, un dispositif de surveillance international survolait cette semaine le rail d'Ouessant.
Français, belges, allemands ou encore espagnols travaillaient de concert cette semaine pour surveiller le rail d'Ouessant et, plus généralement, les côtes atlantiques et la Manche. Leur objectif : démasquer les pollueurs qui vidangent de façon sauvage le long de nos côtes.Le dispositif semble efficace : pas plus de un ou deux navires sont verbalisés par an, signe que le renforcement de la législation est dissuasif pour les armateurs. En effet, les contrevenants s'exposent à une amende d'un million d'euros et une peine de dix ans de prison.