Douce France : la vie après la volaille

Il y a dix ans, les 350 salariés de l'usine de découpe de volailles Douce France connaissaient le même sort que les licenciés du Groupe Doux. Que sont-ils devenus ?

C'était en 2003. L'usine de découpe de volailles deTrémorel, dans les Côtes d'Armor, fermait ses portes. 350 salariés restaient sur le carreau.

Nous avons recueilli les témoignages d'anciens salriés de l'usine. Tous gardent un souvenir douloureux de leur licenciement et de la période de doutes qui a suivi. Il leur a fallu souvent plus d'un an pour retrouver un emploi. Et repasser par la case formation avec l'aide de la cellule de reclassement mise en place à l'époque. Beaucoup ont changé de métier ensuivant des formations en anglais, comptabilité, etc. Un ancien délégué syndical a même monté une boulangerie devenant ainsi patron d'entreprise.

Leur message : il y a une vie "après" même si l'amertume est toujours là. 

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