La flotte des 14 figaristes engagés dans la transat Bretagne-Martinique est scindée en deux. Le groupe de l’Ouest va affronter une nouvelle dépression.
Le vent monte depuis ce mercredi matin. De 8-10 nœuds en détu de matinée, à 20 nœuds dès la mi-journée. Une dépression bien creuse, qui fait sute à une bascule de sud-Ouest. Pile dans le nez pour un groupe de quatre téméraires qui ont pris une option vers l’ouest.
L’avis de grand frais va se transformer en coup de vent (force 8). Yann Elies, Corentin Horeau, Anthony Marchand et Damien Guillou, toujours premier au classement général.
Il s’agit donc de faire le dos rond et d’être les premiers servis. C’est le prix à payer pour suivre la route directe.
Le long des côtes portugaises, le reste de la flotte ont de meilleures conditions, mais des vents plus instables. C’est gros pull, contre tricotage.