Coup de pompes : l'eau de la thalasso, côté coulisses

La Bretagne est leader dans le secteur de la thalassothérapie. Une activité née dans notre région et qui accueille le tiers des thalassos françaises. Le secteur emploie des dizaines de salariés, masseurs, hydrothérapeutes et techniciens, qui oeuvrent en coulisse.

Un tiers des thalassos en France sont sur les côtes bretonnes.

Aujourd’hui, pour qu’un institut puisse obtenir l’appellation de thalassothérapie, il doit en effet se situer en bord de mer de manière à bénéficier des bienfaits de l’air iodé et pour pouvoir y puiser l’eau qui lui sert à soigner ses curistes.

Chaque jour, il s’en consomme des milliers de litres, qu’il faut pomper, décanter, chauffer avant d’être acheminés dans les baignoires et piscines de ces établissements qui en Bretagne ont permis de créer des dizaines d’emplois. « Tous les matins nous avons des analyses chimiques à faire » explique Jerôme« une surveillance à faire tous les jours, deux fois ». Ça c’est avant l’arrivée des curistes. Le pompage de l’eau commence, et s’achèvera à l’ouverture.

L’eau sera chauffée et acheminée dans les piscines ou les cabines d’hydrothérapie. La suite, vous la découvrirez avec ce reportage sur les coulisses techniques de la thalasso.

A voir:
- dans les coulisses de la thalasso
- une thalasso à Paris, c'est possible (archive INA)
- rencontre avecJean-Michel Colleu, responsable des Thermes marins de Saint-Malo
 

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