Ce purificateur d'air baptisé "Safe Air Unit" serait capable de filtrer jusqu'à 99,95 % des microparticules. Un dispositif qui ne laisse que très peu de chances aux virus et autres bactéries. Pour résumer, le système se base sur trois niveaux de filtration : un filtre à charbon actif pour retenir les molécules, un système d'ultra-violet bactéricide, auquel s'ajoute un dernier filtre à particules. "L'air est aspiré en partie basse de la machine, il traverse les différentes étapes de filtration puis il ressort purifié, désinfecté", décrit très simplement face à notre caméra, Gaël Le Noret, chef de projet en recherche et developpement.
Nombreux clients potentiels
Dans l'usine Ploudalmézienne, les premiers épurateurs seront fabriqués dès la semaine prochaine, avec l'objectif de sortir plusieurs centaines de machines par an. Pour se l'offrir, il faudra compter entre 6 000 et 8 000 euros, selon la quantité produite. Mais l'entreprise s'attend à beaucoup de clients, persuadée que son invention pourrait se retrouver dans des lieux bien différents comme des halls de centre commerciaux, piscines ou encore des hôpitaux.