"Le coeur de l'homme décédé était normal". C'est ce qui ressort de l'enquête du médecin légiste suite à la mort par arrêt cardiaque d'un forcené, à Crozon au début du mois. Les gendarmes avaient du faire usage de leur pistolet électronique.
Fortement alcoolisé, cet homme de 45 ans s'était retranché chez lui le 4 avril dernier à Crozon (29) avec sa femme et ses enfants. Il menaçait de mettre fin à ses jours. Les gendarmes avaient alors du faire usage de leur pistolet électronique pour le maîtriser.
L'homme a fait un premier arrêt cardiaque, puis un second, a expliqué le procureur de la république de Quimper Eric Tuffery en rendant publiques les conclusions du médecin légiste. Une anatomo-pathologie va avoir lieu sur l'homme de 45 ans pour déterminer s'il était malade ou pas.