Vidéo. Route du Rhum. Comment Saint-Malo fait-elle pour rester propre avec 2 millions de visiteurs sur 15 jours ?

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Un employé de la voirie de Saint-Malo ramasse des déchets sur le village de la Route du Rhum
Pour que la ville reste propre malgré l’affluence, des collectes supplémentaires des déchets ont été mises en place aux abords du village. Elles commencent dès 5h du matin, quand la foule est encore absente. Reportage. ©K.Veillard / G.Bertrand

Pour que la ville reste propre malgré l’affluence, des collectes supplémentaires des déchets ont été mises en place aux abords du village. Elles commencent dès 5h du matin, quand la foule est encore absente. Reportage.

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Comment la ville de Saint-Malo s'organise pour accueillir autant de monde sur 15 jours ? Entre les visiteurs, les partenaires, les médias, les skippers et leurs équipes ce sont plus de deux millions de personnes qui passent à Saint-Malo pendant la Route du Rhum.

Plus de personnels et davantage de points de collecte

Pour que la ville reste présentable et vivable, des collectes supplémentaires de déchets sont mises en place aux abords du village. Et neuf personnes se relayent en permanence  sur le village de 8h à 22h30 pour ramasser les détritus, soit pas moins de 90 agents sur 13 jours !

L’agglomération de Saint-Malo a, quant à elle, installé six points de collecte (verre, ordures ménagères, papiers) aux abords du village. Les camions passent à partir de 5h pour les ramasser en fonction des besoins. Ce service est renforcé par huit personnes, cinq redéployées et trois embauchées pour l’occasion.

Des ordures ménagères valorisées ou incinérées

Pour ce qui est des ordures ménagères, tout est valorisé dans une usine de traitement mécano-biologique. Soit transformé en compost par fermentation accélérées (à destination des producteurs et maraîchers locaux), soit brûlé dans un incinérateur pour fabriquer de l’énergie électrique (à Taden dans les Côtes d'Armor).

200 à 250 tonnes de déchets supplémentaires

Selon l'agglomération, les 13 jours d’ouverture du village, ce sont 200 à 250 tonnes de déchets supplémentaires à traiter.  En 2018, c’était 190 tonnes en plus, mais cette fois le village est plus vaste et la durée d’ouverture plus longue. 

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