Dans l'Ouest, l'avenir de Doux met en jeu 20 000 emplois directs ou indirects.
En Bretagne, ce sont pas moins de 2 000 emplois directs qui sont en jeu: éleveurs et salariés des différents sites du groupe. Après la mise en redressement judiciaire du groupe, les éleveurs ont reçu l'assurance désormais d'être payés comptant mais le groupe doit encore de l'argent à beaucoup d'entre eux. Les salariés eux craignent des licenciements. Les administratifs pourraient être les premiers touchés.
Dans tout l'Ouest, 20 000 emplois seraient menacés au cas où le groupe viendrait à s'écrouler. Le secteur des transports serait particulièrement touché : "Le poulet subit 5 ou 6 opérations de transport. Si le groupe Doux aujourd'hui s'arrête, demain il y a plein d'entreprises qui vont s'arrêter avec eux " explique René Legrand, directeur général de "Transeo Quimper".