On vous emmène sur la base aérienne d'Avord dans le Cher, et plus particulièrement des les coulisses de cette base ou vivent et travaillent pas moins de 2400 militaires....
Le feuilleton de la semaine
préparé par : Aline Métais, Mekhak Movsissian et Bénédicte BiraudNous vous proposons de découvrir les coulisses de la base aérienne d’Avord : sécurité, vie quotidienne, entraînement sportif, cours d’anglais, réparation des célèbres Awacs…
La palette des activités de la base est très large et régie par des règles strictes. Le personnel fait des exercices quotidiens pour être prêt en cas d’intrusion ou de départ pour les nombreuses opérations extérieures. Des repas à l’entretien des pistes, derrière chaque Awacs qui décolle, il y a une soixantaine de personnes qui s’activent pour que tout soit parfait le jour J.
Episode 1 : sécurité maximale
2400 personnes vivent et travaillent sur cette base de sécurité nucléaire interdite au public.
La garde-montée, les commandos spéciaux assurent la sécurité. Sur les pistes, où s’envolent les Awacs, le fauconnier chasse les oiseaux qui peuvent présenter un risque au moment du décollage.
Episode 2 : Vie quotidienne sur mesure
Le mess doit préparer des centaines de repas en un temps record pour tous les militaires ! Il faut aussi habiller et chausser les hommes et les femmes qui travaillent dans des bureaux ou sur des terrains de guerre. Pour cela, l’armée se modernise : commander ses vêtements ou réserver une chambre en ligne est désormais possible.
Episode 3 : être prêt au combat !
Les hommes et les femmes doivent être opérationnels à tout moment : entraînements à des exercices d’intrusion pour les commandos, sport et cours d’anglais. Dans cette base aérienne, les équipages des Awacs font partie des forces de l’OTAN mais le personnel au sol doit aussi être capable de s’exprimer avec facilité dans la langue de Shakespeare.
Episode 4 : A la recherche du « grain de sable »
Que ce soit pour l’entretien des pistes, l’envoi du matériel militaire ou la réparation des célèbres Awacs, le personnel de la base traque le « grain de sable ». C’est ce que nous confirme le commandant de la base : un simple oubli d’outil dans l’avion-espion peut retarder son décollage ! Les procédures sont donc très strictes. Et ça commence par le fauchage des mauvaises herbes sur cette base située en pleine campagne.