Avec l'opération "ma thése en 180 secondes", les étudiants démontrent leur capacité à présenter en public le fruit de plusieurs années de recherches. L'occasion pour le grand public de découvrir la richesse d'une jeunesse impliquée dans des travaux extrémement compliqués.
Rôle du gène BCAR4, transducteurs ultrasonores, ou lactones macrocycliques chez les nématodes...à première vue, des intitulés incompréhensibles pour le commun des mortels. Pourtant, de jeunes chercheurs réussissent l'exploit de présenter en 3 minutes le fruit de plusieurs années de travaux scientifiques.
Le principe du concours "Ma thèse en 180 secondes" est de vulgariser le thème de sa thèse devant un auditoire de non-spécialiste.
Sarah Thierree est doctorante en neuro-science et travaille sur un médicament utilisable dans le traitement des stress post-traumatiques chez les enfants comme on en trouve sur les théâtres de guerre.
Des recherches qu'elle méne avec conviction et qui s'énoncent clairement :
Sarah Thierree, une doctorante passionnée
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Ce mardi 26 mars, ils étaient 15 à la Villa Rabelais de Tours à se présenter devant le jury pour une présentation publique et filmée de la synthèse de leurs travaux de recherche.
Tous, ont travaillé pour rendre accessible leur sujet de recherche dans les 180 secondes imparties à l'exercice.
A travers ce concours, l'Université montre la diversité et la qualité de ses recherches
Pour Cécile Goï, vice-présidente de l'Université de Tours, toute la richesse de la recherche s'exprime dans ce concours
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À l'issue de ces auditions, 8 ont été retenus pour participer à la finale régionale qui se déroulera à Orléans ce vendredi.