France 3 Centre-Val de Loire répond aux élèves de l’école Jean Zay d'Orléans

Chaque mardi, des élèves de Centre Val-de-Loire posent des questions à la rédaction de France 3. Nous y répondons dans je journal régional ICI 19/20 et sur notre site internet. Cette semaine, les élèves de l’école Jean Zay d’Orléans nous ont sollicités.

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Les goélands à Marseille

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Saoura - Elève école Jean Zay Orléans ©Yves Le Bloa/ FTV

"Pourquoi les goélands sont-ils si nombreux au point qu’on veuille les tuer à Marseille ?"

Saoura

Elève de CE2

La ville de Marseille entend réguler la population de goélands, dans le Sud on les appelle aussi gabians, parce qu’ils prolifèrent depuis de nombreuses années. On en comptait une centaine de couples au XIXe siècle, ils sont aujourd’hui autour de 12.000 couples. Cette explosion démographique s’explique en partie par le régime alimentaire omnivore et le caractère opportuniste de cet animal : longtemps il a profité des décharges à ciel ouvert, source de nourriture abondante à proximité des lieux où il nidifie.

L’omniprésence des goélands cause différentes nuisances : ils peuvent être agressifs avec des passants pour protéger leurs petits, leur prolifération favorise aussi la présence d’autres nuisibles comme le rat noir car les fientes de goélands facilite la pousse de certains végétaux consommés par les rats. Sur les iles autour de Marseille, la nidification des goélands entraine aussi la destruction de la végétation et la disparition de l’habitat naturel d’autres espèces animales.

En conséquence, la ville de Marseille a mis en place un plan d’action qui prévoit la capture d’individus adultes, éventuellement suivie d’euthanasie, la destruction d’ébauches de nids sur les toits de batiments ou encore la stérilisation des pontes.

Pour en savoir plus, tu peux lire cet article complet de nos collègues de France 3 Provence Alpes Côte d’Azur.

Panneaux à l'envers

durée de la vidéo : 00h00mn08s
Soane - Elève de CE2 ©Yves Le Bloa/ FTV

Pourquoi les gens ont-ils retourné les panneaux à l’entrée des villes ? 

Soane

Elève de CE2

C’est une action menée un peu partout en France par le principal syndicat d’agriculteurs : la FNSEA. Avec ces panneaux retournés, souvent affublés d’un autocollant portant la mention « on marche sur la tête », les agriculteurs entendent alerter pacifiquement et sans dégradation (les panneaux sont dévissés puis retournés. Les remettre dans le bon sens est aisé sur leurs problématiques spécifiques.

Jachères imposées par l’Union européenne, interdiction de certains produits phytosanitaires, concurrence jugée déloyale de produits importés pas soumis aux mêmes normes, ce mouvement fait écho à de multiples revendications et sujets de préoccupation des agriculteurs.

L'animal le plus rapide

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Maximilien - Elève de CE2 ©Yves Le Bloa/ FTV

Quel est l’animal le plus rapide du monde ?

Maximilien

Elève de CE2

 

Maximilien, je te propose de répondre à cette question en distinguant trois différents types de milieux naturels.

Sur terre, c’est le guépard le plus rapide. Pour chasser ses proies également très véloces (gazelles, antilopes entre autres), ce félin peut sprinter et atteindre des pointes de l’ordre de 130 km/h. Une vitesse qu’il ne peut maintenir que sur des distances assez courtes : quelques centaines de mètres.

Dans l’eau, l’espadon-voilier est considéré comme le plus rapide. Ce poisson marin est pourvu d’un long rostre, à la façon d’une épée, en guise de nez. Il peut atteindre 4 mètres et peser plus de 600 kg, et grâce à son corps aérodynamique, ils peuvent nager jusqu’à 110 km/h.

Dans les airs enfin, c’est le faucon pèlerin le champion de vitesse. Grâce à son excellente vision, ce rapace peut repérer des proies en volant très haut en altitude, et pour les chasser, il est capable de fondre sur elles en piqué et atteindre les 390 km/h.

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