Chaque année, la famille Azevedo installe sur la façade de sa maison et dans son jardin les illuminations de Noël et cela fait plus de trente ans que cela dure.
Manuel Azevedo et son épouse Sara habitent un quartier résidentiel d’Orléans. Chaque année, cet ancien artisan couvreur illumine la façade de sa maison ainsi que son jardin au moment des fêtes de fin d’année. On peut dire qu’il a la passion des illuminations chevillée au corps et cela ne date pas d’hier : cela fait plus de 30 ans qu’il installe un décor fait d'animaux, de personnages, de guirlandes, de maisonnettes en bois… tout en couleur et en lumière.
Objectif : en mettre plein les yeux
C’est ainsi que sa maison devient chaque soir l’attraction de la rue, du quartier et même de la métropole orléanaise. Les enfants adorent venir accompagnés de leurs parents. On se demande d’ailleurs qui accompagne qui tellement les grands sont autant captivés et heureux de découvrir la magie des lieux que les petits.
En décembre tous les ans, la maison se métamorphose
Notre passionné ne ménage pas sa peine. Son épouse le soutient et l’encourage. Chaque année, Manuel Azevedo ressort de son garage les éléments de la décoration de l'année précédente et il imagine un nouveau décor. Chaque année aussi, son épouse lui offre une nouvelle décoration. En 2020, c’est un train tout en tube lumineux qui a trouvé sa place. Au total, il lui a fallu 3 semaines pour installer les 70 guirlandes et la centaine d’ampoules.
Une histoire de famille
Dans la famille Azevedo, les illuminations de Noël sont une histoire de famille. Le père de Manuel décorait déjà leur jardin. C’est tout naturellement qu’il a repris le flambeau avec un seul objectif : donner du bonheur à tous les curieux qui se pressent le soir venu.
C’est une tradition, c’est un rêve d’enfant qu’on garde en tête. On continue à faire comme si on était un gamin. C’est un plaisir.
La maison va briller jusqu’au 6 janvier, jour de l’épiphanie de 17h30 à minuit. 121 rue Basse d’Ingré à Orléans.
Regardez le reportage réalisé par Isabelle Racine et Pierre-Dominique Lepais