Arlette Martin dit avoir été victime d'un placement abusif dans un EPHAD et de violences psychologiques.
Placée en EPHAD pendant quelques mois, Arlette Martin, 70 ans, dénonce les maltraitances psychologiques qu'elle y aurait subi.
Tout commence le 8 novembre 2012 à sa sortie d'hôpital pour insuffisance musculaire, Arlette Martin a 65 ans et est placée en EPHAD par une assitante sociale. Quelques mois plus tard, le 31 mars 2013, elle quittera de son plein grès ce qu'elle appellera sa «prison».
Aujourd'hui elle denonce un placement médical abusif et la maltraitance dont elle dit avoir été victime par le personnel et le medecin. «Je n'avais rien à faire dans cet endroit, dit-elle, j'étais parfaitement autonome. Je voyais des personnes qui avaient Alzeihmer, qui étaient tétraplégiques autour de moi, je passais ma jorunée à pleurer. On ne nous traitait pas comme des êtres humains, comme des égaux {...] mais comme des numéros.» Elle raconte aussi qu'on lui donnait un médicament le soir qui «la faisait se sentir mal» jusqu'au lendemain midi. A l'arrêt de celui-ci, elle dit s'être sentie beaucoup mieux.
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