Les plages de Haute-Corse menacées par l'érosion du littoral; le marché de la surveillance des plages; sous les posidonies, la plage... mais pas de touristes. Et que faire contre ces micro-déchets qui envahissent le bord de mer ? Éléments de réponses dans ce dossier de la rédaction.
Sous les posidonies, la plage
Notre premier reportage est consacré à ces tapis de posidonies que l'on trouve sur certaines plages. Les baigneurs les apprécient peu. Ces herbiers sont pourtant le signe d'une bonne santé de la nature. Comment concilier écologie et loisirs ? Éléments de réponse avec ce reportage dans le Cap Corse.
Micro-déchets, ces plastiques qui envahissent le littoral corse
La qualité des eaux de baignade est bonne. Mais la mer ramène souvent sur le rivage toutes sortes de déchets. Tous ne sont pas dangereux pour la santé. Les scientifiques tentent de comprendre d'où ils viennent pour mieux lutter contre ces pollutions.
L'inquiétante érosion des côtes
Depuis des années maintenant, le phénomène de l'érosion du littoral inquiète. S'il est observé, aussi, sur la côte Ouest de l'île, c'est sur la côte orientale qu'il est le plus spectaculaire. Le littoral a toujours eu besoin de liberté: il a toujours avancé et reculé successivement.
Des solutions existent pourtant. Problème : si seule une commune -ou un particulier- applique sa méthode, le fléau n'est déplacé que de quelques kilomètres.
Le marché de la sécurité des plages en Corse
Sur les plages comme ailleurs, la sécurité n'a pas de prix. Elle a néanmoins un coût. Faire surveiller une plage n'est pas à la portée de la bourse de toutes les communes.
Qu'il soit pompier, membre de la SNSM ou CRS, un nageur-sauveteur touchera en moyenne entre 1400 et 1800 euros pour un mois de surveillance. A quoi s'ajoutent des primes et des investissements en matériel.
En Corse, comme ailleurs, les maires des communes littorales ont le choix entre plusieurs formules.