Entre le jeudi 11 et le vendredi 12 janvier, cinq personnes ont été placées en garde à vue dans le cadre de l’enquête sur le quadruple homicide survenu à Bastia le 8 janvier dernier. L'une concerne "une personne directement impliquée dans la réalisation des faits", selon le procureur de Bastia.

L'essentiel du jour : notre sélection exclusive
Chaque jour, notre rédaction vous réserve le meilleur de l'info régionale. Une sélection rien que pour vous, pour rester en lien avec vos régions.
France Télévisions utilise votre adresse e-mail afin de vous envoyer la newsletter "L'essentiel du jour : notre sélection exclusive". Vous pouvez vous désinscrire à tout moment via le lien en bas de cette newsletter. Notre politique de confidentialité

Cinq personnes ont été placées en garde à vue dans le cadre de l’enquête sur le quadruple homicide survenu à Montesoro le 8 janvier dernier. Une information confirmée par le procureur de la République de Bastia, Jean-Philippe Navarre.

Parmi ces cinq gardes à vue, toujours en cours, l'une est "susceptible de concerner une personne directement impliquée dans la réalisation des faits", indique cette même source, qui précise que "sous réserve des développements de l’enquête, ces mesures pourraient être poursuivies jusqu’à demain (Ndlr, samedi 13 janvier)".

En début de semaine, les corps de Cléa Costa, Jean-Marie Sbraggia, Jean-Claude Gouardo ont été retrouvés sans vie dans un appartement de la résidence Piana Suprana, dans le quartier de Montesoro, à Bastia. Une quatrième victime, Grégoire Edmond, est décédée des suites de ses blessures au centre hospitalier de la ville deux jours après les faits.

Résultats d’autopsies attendus dans la journée

"Âgées d'une quarantaine d'années, les quatre victimes étaient connues des autorités judiciaires et l'une d'entre elles, pour des faits d'usage de produits stupéfiants", précisait le procureur de la République de Bastia dans un communiqué, au lendemain des faits. Toutes seraient décédées consécutivement à l’usage d’une arme à feu.

Dans cette affaire, sept personnes ont été successivement placées en garde à vue depuis la commission des faits, rappelle le parquet de Bastia.

Le jour des faits, deux personnes avaient été entendues par les enquêteurs. Considérées comme des "proches des victimes", elles avaient été relâchées 48 heures plus tard sans qu’aucune charge ne soit retenue à leur encontre. 

Tous les jours, recevez l’actualité de votre région par newsletter.
Tous les jours, recevez l’actualité de votre région par newsletter.
Veuillez choisir une région
France Télévisions utilise votre adresse e-mail pour vous envoyer la newsletter de votre région. Vous pouvez vous désabonner à tout moment via le lien en bas de ces newsletters. Notre politique de confidentialité
Je veux en savoir plus sur
le sujet
Veuillez choisir une région
en region
Veuillez choisir une région
sélectionner une région ou un sujet pour confirmer
Toute l'information