Andelot veut s'inscrire dans l'Histoire de France

Via d'imposantes fresques, la commune haut-marnaise veut commémorer ses hauts faits, et notamment la signature en 587* sur sa commune de ce qui est bien souvent considéré comme le premier traité de l'Histoire de France.

Pour y parvenir, ce projet repose en partie sur le mécénat culturel. Et mise donc sur votre bon cœur. Participer au financement de la restauration des monuments de la région est une solution pour payer moins d'impôts en faisant une bonne œuvre.

C'est le peintre-décorateur Pascal Amblard qui sera en charge de ces fresques.  La fresque majeure prendra place sur un mur de l'école qui jouxte la place principale de la commune. Deux autres seront réalisées à immédiate proximité de la place centrale du village.

Dans un second temps seront réalisés 9 tableaux. Ils évoqueront le site néolithique, la voie gallo-romaine, Saint Louvent, la révolte des paysans affamés en 1709, l'abbaye royale, la place de l'auditoire, l'épopée et la fin de Jeanne d'Arc, Pignolet de Montéclair, la 2e DB et la bataille d'Andelot.


* "Le 28 novembre de l’an de grâce 587, Gontran, roi de Burgondie, et Childebert II, roi d’Austrasie, représenté par sa mère la reine Brunehaut, signèrent le traité d’Andelot. Il s’agissait de mettre un terme à la guerre civile qui opposait, au sein du royaume franc, les partisans de l’Austrasienne Brunehaut et de la Neustrienne Frédégonde", rapporte le site internet de la commune.



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