Les jeunes du conseil municipal de Saint-Max, près de Nancy (54) ont décidé de créer une école de portes-drapeaux pour tenir leur place aux côtés des anciens combattants tout au long de l'année.
"Un honneur, tout autant qu'un devoir", les jeunes porte-drapeaux formés en Lorraine sont fiers de leur engagement et seront visible lors des cérémonies du 11 novembre.
Ces jeunes du conseil municipal de Saint-Max (54) se sont mobilisés sur la suggestion d'Eric Pensalfini, le maire de la commune Meurthe-et-Mosellane, pour créer une école de porte-drapeaux, sur le modèle de celle de Saint-Avold (Moselle) la première en France, sous l'impulsion du capitaine de réserve André Gily.
Objectif, tenir sans faillir leur place aux côtés des anciens combattants tout au long de l'année. Ces jeunes très motivés veulent perpétuer le devoir de mémoire et offrent une relève bienvenue alors que le nombre d'anciens combattants et de porte-drapeaux est en constante diminution.
Initiée en 2012 par le conseil municipal des enfants et des jeunes de Saint-Max (CMEJ) cette école est ouverte à tous les jeunes "âgés de minimum 8 ans qui souhaitent s’investir et porter haut les couleurs de la France."
Un reportage d'Evelyne Billot avec Jean-Luc Marchand, Jérôme Choffart et Philippe Guell :
