Ce n'est pas une entité quelconque qui s'est présentée mercredi à la barre du tribunal correctionnel de Metz pour y répondre de "dénonciation mensongère", mais Chantal Hachette, qui était en fait responsable du saccage du pavillon familial, à Amnéville (57).
L'affaire avait fait grand bruit.Un véritable déchaînement médiatique était survenu, suite au saccage d'un pavillon, à Amnéville.
Des faits sur le moment "inexpliqués", qui avaient cependant, suite à l'enquête de police, conduits les enquêteurs à écarter toute piste scientifique, et encore moins "surnaturelle".
La maîtresse de maison, victime semble-t-il d'une "crise de nerfs" avait été reconnue responsable des faits.
D'où son passage, un peu plus matériel celui là, devant le tribunal de grande instance.
Coup de théâtre, l'expertise psychiatrique de la prévenue conclut à... son irresponsabilité pénale.
Mais l'expert se trouve être.. le médecin traitant de la prévue. Ce qui conduit la représentante du Parquet à réclamer une contre-expertise.
Quant à maître Thomas Hellenbrand, avocat de la prévenue, il s'est évertuer à pointer du doigt certains détails juridique de nature à lui permettre d'invoquer devant le tribunal la "nullité de procédure".
Le jugement a été mis en délibéré au 12 novembre