Ce week-end, un tournoi de football de table était organisé à Hoenheim. Et les femmes étaient plutôt bien représentées.
Elle vient de Chambéry et le baby-foot, c’est son truc. Elle s’appelle Caroline et sa passion, elle l’a vit depuis 8 ans. À cette époque, la jeune femme était encore lycéenne. Aujourd’hui étudiante en psychologie, le choix de l’université de Strasbourg ne s’est pas fait par hasard. "J’ai choisi ma fac en fonction du club. Et à Strasbourg, le club était juste à côté", explique-t-elle. Tout ce week-end, les matchs se sont enchaînés. Et pour Caroline, avant chaque rencontre, c’est le même rituel. Un grip sur la poignée pour l’adhésion.
Les féminines représentent moins de 10% des effectifs de la fédération. Et malgré cela, elles constituent un axe fort de développement. "Les femmes se retrouvent assez facilement sur ce sport. Et l’avantage, c’est qu’on peut jouer en mixte", précise Antoine Alexandre, président de la Fédération Française de football de table.