Vous avez loupé les "Frach oder frech" de cette semaine ? Le rattrapage, c'est par ici

Vous êtes plutôt frach ou frech (les deux versions alsaciennes du mot "impertinent") ? Peut-être que vous êtes un peu les deux ? Pour voir, revoir et entendre la truculence des invités de cette semaine, suivez-nous!
 

Gabriel Brauener, président de la société d'histoire de Sélestat et de l'association des amis de la Bibliothèque humaniste. Un passionné d'histoire : "unseri Gschìscht ìsch originàl". Fou rire garanti à la fin du sujet !
Christophe Wehrung, artiste-peintre avoue être "frech" depuis toujours. Il aime la liberté que procure la peinture, dit se sentir à l'aise en sandales et préfère voir la bouteille à moitié pleine.
 
Alain Meyer, pasteur à la retraite et grand voyageur, aime les mots : "isch bìn e Liebhàwer von d'Werter und von d'Spràch". Actif au Bénin depuis 40 ans, il déteste l'injustice.
 
Philippe Junger, ancien directeur de la cave des hospices de Strasbourg, était frach avant de devenir frech. Il est tout naturellement un amoureux des vins, plutôt conventionnels : "on va à l'essentiel".
 
Michel Chalot, transporteur au port du Rhin, est pour le GCO. Il aime les camions, les tournevis et la choucroute. Et si vous l'embêtez, il vous traitera de
"Mùckehìrn" (cervelle de mouche).
  
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