L'arrivée tardive du printemps renforce les pathologies liées aux allergies aux pollens, qui surviennent de manière plus brutale. La région est particulièrement touchée par le phénomène, qui devrait s'intensifier dans les prochains jours.
Les températures grimpent à peine que déjà sur les arbres, les premières fleurs éclosent et avec elles : le pollen.
Cette année, avec l'hiver à rallonge, les pollens ont deux à trois semaines de retard : une fausse bonne nouvelle pour les patients, dont les allergies sont en fin de compte plus importantes.
La région, déjà en risque allergique élevé, devrait connaître son pic de pollen dans les prochains jours, quand le soleil s'installera pour de bon.
Explications ci-dessous dans notre reportage :