Dans l'Amandinois, à Flines-lès-Mortagne, un jeune couple a racheté le café gallodrome du village, il y a plus d'un an, mais depuis, il fait face à un imbroglio administratif et judiciaire....Impossible d'ouvrir au public.
Les gallodromes et leurs combats de coqs sont une institution dans la région. Malgré 70 000 euros de travaux pour se mettre aux normes, les propriétaires n'arrivent pas à ouvrir leur gallodrome. Or, sans combat de coq, leur établissement ne pourrait pas survivre.
En fait c'est une rixe entre clients, dans l'établissement alors géré par un autres propriétaire, qui bloquerait l'ouverture de l'établissement. La préfecture refuse la réouverture tant que l'enquête de gendarmerie n'est pas terminée.
Dans le village, la plupart des habitants se désole de cette absence, car le gallodrome accueillait près de 300 coqueleux, les week-ends. De quoi animer le village de 1600 âmes.