Croyant au gag (avant de voir la vidéo ci-dessus), nous avons surfé un peu sur la toile belge et découvert un autre article concernant ce tatouage. Publié par La Meuse.be, il donne la parole à la tatoueuse qui explique mal dormir depuis, pleurer souvent à cause du buzz que cette histoire a faite chez nos voisins et explique avoir, par un concours de circonstances et de stress (opération bénigne de son fils avec complications), manqué de temps pour effectuer le dessin. Elle dit avoir voulu reporter le tatouage et explique que le modèle présenté ci-dessous (à gauche) dans la presse, n'était pas celui demandé.
Le sketch du tatoueur, de François Damiens, pas si loin de la réalité
Contactée, la rédaction de La Meuse assure par l'intermédiaire d'un chef d'édition que l'histoire est tout à fait authentique. Et que le titre a déjà publié trois papiers sur le sujet : les faits, la réaction de la jeune tatoueuse, celui des tatoueurs se proposant de corriger le dessin ou celui de professionnels voulant l'effacer. Aujourd'hui, Didier serait en train de réfléchir à l'une de ces solutions.
Une histoire belge qui n'est pas sans rappeler, une caméra planquée de François Damiens... Dont voici la vidéo, pour le sourire...