Lebron James, Steph Curry… pour ne citer qu’eux… Des stars planétaires à Lille, une chose presque incroyable, mais bien réelle. Les passionnés de basket ont parfois attendu des heures pour apercevoir leurs idoles. Même sans aller au stade, le spectacle est là aussi.
Des étoiles dans les yeux, petits et grands ont eu toute la journée à Lille... dans l'espoir d'apercevoir ceux qui les font rêver sur les parquets américains.
"J’aimerais vraiment les voir, c’est vraiment un rêve. J’aime le basket depuis que je suis petit, je suis fan d'à peu près tous les joueurs qui vont sortir donc j’espère les voir tout à l’heure", confie un jeune homme. À côté de lui, un autre jeune, T-shirt des Lakers sur le dos explique : "C'est le regroupement des stars de la NBA, ceux que je vois tous les jours, tous les matins sur mes réseaux sociaux, c’est un vraiment un regroupement incroyable !".
La patience, vertu de rigueur
Certains ont attendu pendant plus de 7 heures. Patiemment. Sous un soleil qui se faisait de plus en plus brûlant. Pas de quoi décourager ce papa venu de Maubeuge avec son fils. Ce n'est pas tous les jours que les stars américaines sont à Lille : "Mon fils est très fan, nous sommes allés aux États-Unis pour voir Steph Curry. On l’a déjà vu jouer mais comme tous les joueurs sont là, on va en profiter pour les voir tous, c’est un bon moment".
Un peu de déception tout de même quand vers 15 heures, la dream team américaine monte dans le bus. Probablement concentrés avant d'affronter les Serbes, le public les a furtivement aperçus. "C’est vraiment cool, c’est dommage qu’il n’y ait pas plus interaction avec le public" commente un fan après le départ du bus.
On a vu les joueurs, LeBron James, Stephen Curry, Kevin Durant et plein d’autres !
Enfants enthousiastes
Mais l'enthousiasme des plus petits fait plaisir à voir "On a vu les joueurs, LeBron James, Stephen Curry, Kevin Durant et plein d’autres !" s'exclame un garçon au T-shirt aux couleurs des Nets de Brooklyn mais casquette tricolore sur la tête. Le cœur a ses raisons que la raison ignore...