Une estimation assortie toutefois de réserves car, outre l’état d’avancement des cultures, les conditions climatiques du mois de juillet restent déterminantes. Et la pluie a rendu impossible la moisson car les blés ne sont pas encore mûrs.
Si la quantité est là, les cours mondiaux ne sont pas bons, 40 euros de baisse par tonne. De plus ce qui inquiètent les agriculteurs c'est aussi la concurrence européenne.
Un reportage de Pierre-Guillaume Creignou, Eric Henry et Mathieu Krim; avec : Marc Soufflet
Agriculteur;
Laurent Cardon
Secrétaire général de l’union des syndicats agricoles de l’Aisne