Le procureur adjoint Gérard Aldigé a requis, vendredi 20 février, la relaxe du député UMP Eric Woerth, poursuivi pour "recel" dans le procès Bettencourt, et de l'entrepreneur audiovisuel, Stéphane Courbit, jugé pour "abus de faiblesse".
N'estimant pas suffisantes les charges à leur encontre, le procureur adjoint Gérard Aldigé a requis vendredi 20 février la relaxe du député UMP Eric Woerth, poursuivi pour "recel" dans le procès Bettencourt, et de l'entrepreneur audiovisuel Stéphane Courbit, jugé pour "abus de faiblesse".
Le représentant de l'accusation a rappelé qu'en juin 2013, à l'issue de l'instruction du volet "abus de faiblesse" de l'affaire Bettencourt, il avait déjà "requis un non-lieu" en faveur d'Eric Woerth et de Stéphane Courbit, ainsi que pour trois autres prévenus : l'avocat Pascal Wilhelm, le notaire Patrice Bonduelle et Alain Thurin, ex-infirmier de Liliane Bettencourt.