Il a adressé ce mercredi 8 janvier un message de solidarité aux salariés de Goodyear, il a notamment qualifié la séquestration pendant près de 30 heures des deux cadres d'"actes de désespoir".
Lors d'une conférence de presse, il dit comprendre ce type d'action, même si selon le n° un de la CGT ce n'est pas dans les habitudes de son syndicat "mon premier mot, c'est un mot de solidarité, je sais ce que c'est que d'être licencié (...) Cela peut arriver". (...) Il considère que les salariés de l'usine d'Amiens Nord sont "des victimes" et demande au PDG du groupe Titan de se taire et de cesser de mettre selon lui de l'huile sur le feu. Il a jugé que "les salariés de Goodyear ont été trahis, trompés et n'ont pas été respectés".