La ministre déléguée en charge des sports est en visite en Creuse ce vendredi 4 février 2024. Au programme : visite d’un site de VTT pour les JO 2024. Le cas de la piscine de Guéret a également été évoqué par Roxana Maracineanu, en direct sur notre antenne.
La ministre déléguée en charge des sports Roxana Maracineanu est en Creuse ce vendredi 4 février 2022 pour la préparation aux Jeux Olympiques et Paralympiques de Paris en 2024. Elle visite notamment, cet après-midi, un site de VTT et le centre de préparation aux Jeux.
La ministre a indiqué que des équipes de vélo viendront "sans doute" s’entraîner à Guéret au moment des Jeux. "L’équipe de VTT d’Israël pourrait venir s’entraîner en Creuse dès 2022. L’équipe de Belgique viendra elle autour du 12 avril", informe notre journaliste en Creuse.
La ministre a, par ailleurs, assisté, depuis la préfecture de la Creuse, à l'ouverture des JO d'hiver de Pékin 2022.
Ce matin elle a rencontré des jeunes pratiquant du vélo à l’Institut médico-éducatif (IME) de l’APAJH de Grancher à Guéret.
Promesse d'un financement à 80% de la piscine par l'État
Une visite qui intervient quelques jours après celle du président de la République, Emmanuel Macron, dans le département. La ministre a annoncé le lancement d’un "plan 5 000 équipements de proximité sur toute la France" dont la Creuse devrait bénéficier pour "plus de diversité dans les pratiques sportives qu’on va mettre en place", souligne-t-elle.
Alors que la piscine de Guéret est fermée pour péril imminent depuis octobre 2020 la ministre a déclaré pouvoir "investir demain" si un dossier est proposé : "l’argent de l’Etat est sur la table. Je crois qu’il est question d’une couverture de ce bassin qui doit être rénové aujourd’hui avant de penser à d’autres projets. L'essentiel c’est que les piscines soient en fonctionnement et répondent aux besoins de la population."
Selon la maire de Guéret, Marie-Françoise Fournier, la ministre aurait promis un financement à hauteur de 80% de la rénovation de la piscine dont le coût hors taxe est de 2,5 millions d'euros. La région Nouvelle-Aquitaine a déjà voté une subvention de 175 000 euros.