Au sommaire : la récente visite sur place du Président Hollande confirme que l’Egypte est devenue un client privilégié pour la France. Rencontre avec l’écrivain algérien Boualem Sansal, invité de cette édition et visite du château de Castille et de ses fresques, peintes par Picasso.
France 3 - Journal de la Méditerranée - 23... par france3toutesregions
L’Egypte ou le nouvel eldorado français
L'Égypte est devenue le nouvel Eldorado des entreprises tricolores. Un marché de 90 millions d'habitants avec à la clé des contrats monumentaux. L'armement bien sûr avec les ventes médiatiques d'avions de chasse Rafale, ou de navires Mistral, mais aussi la construction avec au Caire le colossal chantier de la ligne 3 du métro. Pourtant, cette lune de miel économique tarde à convaincre de nouveaux investisseurs.A lire dans "Le parisien"
A lire dans "Le point"
Boualem Sansal, un écrivain algérien très engagé…
Depuis son premier roman, « Le Serment des barbares », publié en 1999, jusqu’à son dernier, « 2084, la fin du monde », paru en 2015, Boualem Sansal, 66 ans, se trouve confronté – tout comme son pays – à la barbarie intégriste et à son corollaire, le djihadisme. Inspiré du « 1984 » de George Orwell, son dernier ouvrage, grand prix du roman de l'Académie Française l’an passé, annonce l’arrivée d’une dictature religieuse. Le célèbre écrivain à la queue-de-cheval, multiplie les prises de position courageuses sur les menaces que fait peser l’islamisme radical sur le monde comme sur l’Algérie.A lire dans "Le nouvel observateur"
A lire dans "Télérama"
A vendre !
À quelques kilomètres d'Uzès (Gard), le château de Castille, mis en vente par la prestigieuse agence Sotheby’s pour près de 9 millions d'euros, attire les regards du monde entier. Il faut dire que ce magnifique domaine recèle un inestimable trésor : cinq fresques que Picasso a réalisées ici dans les années 60. Habitué des lieux, l'artiste était un proche de l'ancien propriétaire, l'historien d'art et collectionneur britannique Douglas Cooper.A lire sur "Culturebox"
A lire dans "Le nouvel observateur"